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The Telegraph lâche la bombe : « Le gouvernement cache les données reliant vaccins Covid et excès de mortalité "pour ne pas effrayer le peuple" »
Depuis 2020, le Royaume-Uni enregistre un nombre anormalement élevé de décès qui dépasse largement les prévisions statistiques. Face à cette situation alarmante, une question brûlante revient sans cesse : les injections anti-Covid pourraient-elles être en cause ? Pourtant, les données qui permettraient d'éclaircir ce point crucial restent enfermées dans les coffres de l'UK Health Security Agency (UKHSA), l'organisme public chargé de la veille sanitaire.
Même le quotidien britannique The Telegraph, pourtant rarement en pointe sur les sujets critiques envers les politiques vaccinales, consacre désormais sa une à ce qu'il qualifie ouvertement de « rétention d'informations » et de possible « camouflage ».
Des chiffres transmis aux laboratoires… mais interdits au public
Ce qui choque particulièrement les observateurs, c'est le deux-poids-deux-mesures flagrant : ces mêmes données, qui croisent les dates de vaccination et les dates de décès (de façon anonymisée), ont bel et bien été remises aux grands groupes pharmaceutiques.
En revanche, lorsqu'un collectif citoyen, UsForThem, les a réclamées via la loi sur la liberté d'information (FOI), l'agence a refusé catégoriquement de les publier.
Les justifications avancées par l'UKHSA laissent pantois :
- la publication « risquerait de provoquer de la détresse ou de la colère » chez les familles endeuillées ;
- elle pourrait « nuire à la confiance » dans les futures campagnes vaccinales ;
- il existerait un risque, même théorique, de ré-identification des personnes malgré l'anonymisation.
Après deux ans de bataille juridique, le Commissaire à l'information a finalement donné raison à l'agence, validant ce refus qui prend des airs de censure sanitaire.
Une posture paternaliste qui rappelle les pires scandales
Ben Kingsley, directeur juridique d'UsForThem, n'y va pas par quatre chemins :
« On assiste à une panique visible de l'UKHSA pour que ces chiffres ne sortent sous aucune forme. Arguër que les Britanniques seraient trop fragiles pour supporter la vérité est non seulement infantilisant, c'est exactement la même logique qui a prévalu pendant le scandale du sang contaminé. »
Le parallèle est glaçant. Dans l'affaire du sang contaminé, des milliers de patients ont été infectés par le VIH et l'hépatite C parce que les autorités ont préféré taire la dangerosité des poches de sang pendant des décennies. Le rapport final de l'enquête publique, publié en 2024, a révélé l'ampleur du mensonge d'État. Aujourd'hui, de nombreux parlementaires et citoyens y voient un inquiétant air de déjà-vu.
Richard Tice (Reform UK) exige une commission d'enquête
Richard Tice, numéro 2 du parti Reform UK, monte au créneau :
« Nous savions depuis longtemps que les excès de mortalité posaient problème, c'est pourquoi nous réclamons une enquête publique complète sur les décès post-vaccination. Ce que fait l'UKHSA est intolérable : un organisme non élu qui enterre des données potentiellement explosives. Le ministre de la Santé doit intervenir immédiatement. Si nous refusons d'affronter la réalité des causes de ces morts, quel genre de société sommes-nous en train de devenir ? »
Une défiance qui s'installe durablement
Ce nouvel épisode alimente la fracture béante entre les institutions sanitaires et une partie grandissante de la population. Quand une agence publique estime que les citoyens sont trop émotifs ou trop crédules pour accéder à des données brutes pourtant anonymisées, elle signe elle-même la fin de la confiance.
Et cette défiance, une fois installée, sera bien plus difficile à soigner qu'un quelconque effet secondaire.
Même un journal aussi établi que The Telegraph titre sans détour sur cette « dissimulation ». Quand la presse mainstream commence à poser les bonnes questions, c'est que le mur du silence commence sérieusement à se fissurer.
Les Britanniques, comme des millions d'Européens, attendent toujours des réponses claires sur les raisons de ces milliers de morts supplémentaires. Refuser de publier les données qui pourraient apporter la lumière, sous prétexte de protéger les gens de leurs propres émotions, n'est pas de la prudence. C'est une forme de mépris.
Les premières réactions françaises qui cognent fort
« Aveu INCROYABLE du gouvernement britannique : ils cachent les données qui pourraient lier les vaccins aux milliers de morts en excès parce que ça ferait "trop de colère et de détresse" chez les familles ! C'est exactement ce que fait aussi l'Agence européenne des médicaments. Ils ne parviendront pas à cacher la vérité et à échapper à leurs responsabilités ! On ne lâchera rien ! »
« Le génocide dû à la stratégie vaccinale contre le Covid se révèle par touches. En France, le secret Défense protège encore, mais la marmite va exploser et malheur à tous les responsables ! »
Le débat prend feu outre-Manche et l'histoire du sang contaminé au Mediator en passant par tant d'autres affaires, nous a appris où mène ce genre de mépris.
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